jeudi 26 juillet 2018

31) Le dernier général des tradis 5

     Et le prochain truc arrive : le voilà, il est là. Que doivent donc faire les tradis à la vue de tout ce qui se passe chez eux et à la conciliaire ?

     Avant de répondre à cette question, je m’aperçois que je n’ai rien dit du sieur Bouchacourt. Je répare donc l’omission.

     Le sieur sus-nommé est un type de gauche comme tout le monde le sait : souvenez-vous comment il a envoyé valdinguer les sept dont le principal d’entre eux qui était responsable de Saint-Nicolas-du-Chardon. Vous connaissez tous les faits. D’ailleurs à ce propos, je tiens à dire ce qui suit.

     Dans mes articles, je ne parle que de choses véritables ; quand ce sont des conjectures, je le dis. Mais pour les faits, je dis ce qu’il en est et sans aucune référence car je suppose que ceux qui me lisent sont au courant. Vous pensez peut-être que cela est original, et j’avoue que ce l’est. Mais rappelez-vous que je ne suis pas un articleur, car je ne connais pas la technique de ce métier, ne l’ayant jamais apprise. Cela ne m’empêche pas, et même c’est plutôt le contraire, d’être admiratif devant les professionnels de ce métier par exemple Jeanne Smits et tous les autres dont je partage d’ailleurs les articles sur GTV ; je vous le dis carrément : ces gens-là font du bon boulot et moi, je ne leur arrive qu’au talon. Et ce que je dis ici, je le pense véritablement. Donc, qu’ils continuent, car ils ne se rendent pas compte du bien qu’ils font en exposant la vérité comme ils le font. Je ne parle pas des escrocs du métier, style Tornielli !!! Ceux-là sont bons à mettre au panier.

     Revenons à maître Bouchacourt. Quand il était en Argentine, ce monsieur désavoua ses propres fidèles qui étaient entrés dans la cathédrale de Buenos Aires pour réparer un scandale de Bergoglio ! Bien plus, il s’entendait magnifiquement avec le sire Bergole dont il reçut même la bénédiction, autrement dit la malédiction si vous savez interpréter les choses. Et le voilà propulsé auprès de son super-cop Paglia-rani (le très d’union est volontaire pour faire penser à quelqu’un d’autre...).

     Donc, résumons. Voilà cinq gauchistes à la tête de la Frat, élus par un chapitre gauchiste puisque les pions ont été mis par Fellay au fil des années, et que les dits soi-disants anciens ne sont pas plus anciens que vous et moi, mais ils ont été triés sur le volet par le sieur Fellay.

     À propos des deux conseillers généraux, il faut bien remarquer qu’ils ont été élus pour s’aligner au nouveau code, car ce truc n’était pas et n’est toujours pas dans les statuts de la Frat, entendez-vous les puristes ? Mais bien sûr, vous ne réagirez pas car sinon vous seriez mis à la rue et sans un sou comme tant d’autres peuvent en témoigner, car dans la Frat la miséricorde a été rayée du dictionnaire, sauf qu’ils l’acceptent quand il vient du dico de Bergole.

     Revenons donc à la question initiale, et ce n’est pas une petite question : que faire quand on est tradi ?

     Je m’aperçois que mon article est déjà pas mal long. En conséquence, je vous donne rendez-vous au dimanche 29 juillet 2018 !
     (À noter que je ne fais pas mes articles à l’avance mais au moment même où je les écris, avec aucune préparation et aucune rectification, autrement dit, à la lurlure.)

GC-l’AV

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