Les 1260 jours de
l’Antéchrist, que seront-ils ? Ce sera le temps où la
réalité rejoindra la fiction : nous y sommes pratiquement !
Maintenant, revenons à la Frat.
Le coup de théâtre
du 11 juillet 2018, la Saint-Benoît d’été, n’est pas un coup
de théâtre mais un fait monté de toute pièce. Essayons de le
démontrer.
Il est impossible,
sauf exception exceptionnelle, que 28 personnes sur 41 s’entendent
sur un nom en l’espace, même de quatre scrutins, ce qui était le
maximum ; mais la Frat s’est bien gardée de dire si c’était
au bout de quatre ; si ç’avait été le cas, on l’aurait
su, et elle s’en serait glorifiée pour bien accréditer la
validité. Donc il est fort à croire que c’est moins de quatre,
puisque quatre étant le maximum prévu pour chaque jour comme la
dite Frat l’a bien souligné. N’en sachant rien, je prends le
maximum, savoir quatre. Eh bien, au bout de quatre scrutins, je le
redis, il est impossible que 28 personnes sur 41 s’entendent sur
un, sauf évidemment si... examinons.
Le 28 juin 2018,
Fellay, dans son interview, sûr de lui, affirmait que la Frat
suivrait son supérieur comme un seul homme si le coup de tampon
était donné. Sur quelle assurance pouvait-il s’appuyer ? Il
le dit lui-même à la fin de l’interview, savoir que son pape
François lui a envoyé une lettre où il l’appelle « Mon
cher frère, mon cher fils ». De cette lettre, nous n’en
savons pas plus. Mais le chapitre, lui, doit en savoir plus.
En effet, il va de
soi que Fellay aura lu cette lettre devant le chapitre, et je présume
que cela a été déterminant pour l’élection du nouveau
supérieur. Cela explique l’euphorie qui a suivi, savoir l’élection
des deux assistants dans la foulée, empêchant les capitulants de se
ressaisir et nommant des personnes idoines au nouveau supérieur, ce
qui donne un triumvirat argentin en plein accord avec un certain
autre argentin que tout le monde connaît bien.
Les vidéos
subséquentes le montrent bien. On voit un Pagliarani radieux et qui
ne peut même pas s’empêcher de rigoler, surtout quand il parle de
son super-cop Bouchacourt : là, il ne se contient plus !
On voit un Bouchacourt dont tous les navires sont merveilleux, selon
son expression répétée plusieurs fois, et qui est pratiquement au
septième ciel. On voit un Galarreta, plus posé que les deux autres,
il est vrai, mais tout aussi plat dans son angélisme. Bref, tous les
trois sont contents d’avoir remporter le match contre la
Croatie !!! et à si peu de frais... Tout cela sent le
magouillage et le téléguidage : le Saint-Esprit n’était
certainement pas là ! Et ce n’est que le début.
Je vous ai dit que
je serais long, et je le serai en effet, car il y a des tonnes de
trucs à dire, et je les dirai, mais à ma façon à moi, plaise ou
plaise pas.
Maintenant, je vous
laisse au TDF2018 qui je pense doit davantage vous intéresser, même
les tradis, et je dirais même, surtout les tradis puisqu’ils
veulent se modeler sur le monde avec 50 ans de retard sur Vatican II,
en conséquence de quoi ils sont obligés de mettre la gomme. Si tu
m’as compris, tant mieux ! Dans le cas contraire, tant pis !
tu prends ton vélo et tu vas faire un tour en attendant de lire mon
prochain truc.
À plus !
GC-l’AV
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