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ACTUS
au 11 juin 2018
1- Cinq étoiles
2- Un témoin désabusé
au 11 juin 2018
1- Cinq étoiles
2- Un témoin désabusé
en.news
11 juin
2018
Nous n'avons pas peur d'affronter la dictature de la pensée-unique - par Lorenzo Fontana
Lettre de Lorenzo Fontana, ministre
italien des Affaires familiales, au directeur du journal romain Il
Tempo.
Cher directeur,
Je voudrais remercier Il Tempo, son personnel et tous ceux qui m'ont apporté leur soutien pendant ces jours où il y a une forte tentative d'attaquer non seulement moi mais aussi les valeurs qui reflètent la majorité silencieuse et pacifique du pays.
Ce que nous avons vu rappelle amèrement les prédictions de Gilbert Keith Chesterton : « Des épées seront tirées pour prouver que les feuilles sont vertes en été », une prophétie qui ne semble plus si lointaine.
Et c'est ce qui s'est passé. Nous avons dit des choses que nous pensions normales, presque une conclusion évidente : pour qu'un pays puisse se développer, il doit avoir des enfants, c'est-à-dire qu'une mère est appelée mère (et non parent 1), un père est appelé père (et non parent 2).
Nous avons dit que les seules personnes qui doivent avoir un mot sur l'éducation, la croissance et les soins des enfants sont leurs mères et leurs pères. C'est un sacro-saint principe de liberté.
La réaction - de certains cercles porte-drapeau du relativisme - a été très violente. Une rafale féroce d'insultes, d'offenses, voire de menaces personnelles (qui seront portées à l'attention des autorités compétentes) a été lancée.
Les médias sociaux ont amplifié la portée de cette action qui était contrôlée par certains éléments en arrière-plan. Nous vivons à une époque étrange. La fureur d'une certaine idéologie relativiste va au-delà des limites de la réalité, jusqu'à remettre en question certaines questions bien sûr, qui sont pleinement reflétées dans notre Constitution :
« La République reconnaît les droits de la famille comme une société naturelle fondée sur le mariage », dit l'article 29, qui sera l'action principale du ministre.
Cela dit, la révolte des élites ne nous fait pas peur et nous n'avons pas peur de nous attaquer à la dictature de la pensée-unique. Nous allons de l'avant, avec une grande motivation, nous avons de nombreux projets à mettre en œuvre. Nous le faisons avec beaucoup - comme vous - qui nous ont montré leur solidarité.
Vous êtes si nombreux et tout le monde mérite un merci sincère. L'histoire nous réconforte. « Ils vous appelleront papistes, rétrogrades, intransigeants, cléricaux : soyez fiers », paroles de saint Pie X.
Nous sommes fiers de ne pas avoir peur de nous appeler chrétiens, de nous appeler mères, pères, pour défendre la vie. Nous avons des épaules assez larges pour résister à des attaques sans fondement en répondant par la preuve des faits, la force des idées et le caractère concret des actions.
Je voudrais rendre hommage à un journal gratuit qui a le courage de s'exprimer contre la marée. Jamais auparavant la lutte pour la normalité n'a été aussi héroïque qu'aujourd'hui.
Avec estime
Lorenzo Fontana, ministre des Affaires familiales.
GChevalier
Cher directeur,
Je voudrais remercier Il Tempo, son personnel et tous ceux qui m'ont apporté leur soutien pendant ces jours où il y a une forte tentative d'attaquer non seulement moi mais aussi les valeurs qui reflètent la majorité silencieuse et pacifique du pays.
Ce que nous avons vu rappelle amèrement les prédictions de Gilbert Keith Chesterton : « Des épées seront tirées pour prouver que les feuilles sont vertes en été », une prophétie qui ne semble plus si lointaine.
Et c'est ce qui s'est passé. Nous avons dit des choses que nous pensions normales, presque une conclusion évidente : pour qu'un pays puisse se développer, il doit avoir des enfants, c'est-à-dire qu'une mère est appelée mère (et non parent 1), un père est appelé père (et non parent 2).
Nous avons dit que les seules personnes qui doivent avoir un mot sur l'éducation, la croissance et les soins des enfants sont leurs mères et leurs pères. C'est un sacro-saint principe de liberté.
La réaction - de certains cercles porte-drapeau du relativisme - a été très violente. Une rafale féroce d'insultes, d'offenses, voire de menaces personnelles (qui seront portées à l'attention des autorités compétentes) a été lancée.
Les médias sociaux ont amplifié la portée de cette action qui était contrôlée par certains éléments en arrière-plan. Nous vivons à une époque étrange. La fureur d'une certaine idéologie relativiste va au-delà des limites de la réalité, jusqu'à remettre en question certaines questions bien sûr, qui sont pleinement reflétées dans notre Constitution :
« La République reconnaît les droits de la famille comme une société naturelle fondée sur le mariage », dit l'article 29, qui sera l'action principale du ministre.
Cela dit, la révolte des élites ne nous fait pas peur et nous n'avons pas peur de nous attaquer à la dictature de la pensée-unique. Nous allons de l'avant, avec une grande motivation, nous avons de nombreux projets à mettre en œuvre. Nous le faisons avec beaucoup - comme vous - qui nous ont montré leur solidarité.
Vous êtes si nombreux et tout le monde mérite un merci sincère. L'histoire nous réconforte. « Ils vous appelleront papistes, rétrogrades, intransigeants, cléricaux : soyez fiers », paroles de saint Pie X.
Nous sommes fiers de ne pas avoir peur de nous appeler chrétiens, de nous appeler mères, pères, pour défendre la vie. Nous avons des épaules assez larges pour résister à des attaques sans fondement en répondant par la preuve des faits, la force des idées et le caractère concret des actions.
Je voudrais rendre hommage à un journal gratuit qui a le courage de s'exprimer contre la marée. Jamais auparavant la lutte pour la normalité n'a été aussi héroïque qu'aujourd'hui.
Avec estime
Lorenzo Fontana, ministre des Affaires familiales.
GChevalier
Voilà
quelqu'un de courageux ! Je suis sûr qu’Antéchrist-François
n'est pas d'accord avec lui !
fr.news 11
juin
2018
"Suis-je gay ? Demandez à mon copain" sur le t-shirt d'un recteur
Le père Dwight Longenecker a mentionné
sur Twitter le 9 juin le rapport d'un séminariste aux
États-Unis.
Au cours de la première soirée au séminaire, il y avait une fête avec des boissons.
Le recteur du séminaire est venu en short et t-shirt.
Le t-shirt arborait sur l'avant « Suis-je gay ? » et sur le dos, « Demandez à mon copain. »
Au cours de la première soirée au séminaire, il y avait une fête avec des boissons.
Le recteur du séminaire est venu en short et t-shirt.
Le t-shirt arborait sur l'avant « Suis-je gay ? » et sur le dos, « Demandez à mon copain. »
Tout le
monde sait que les séminaires d'aujourd'hui sont des boîtes du
diable.
fr.news 11
juin
2018
Un cardinal suédois "très triste" que des partis bloquent l'immigration de masse
En Europe, il existe un mouvement
«nationaliste» de plus en plus influent contre les migrations [de
masse], a déclaré le cardinal de Stockholm Anders Arborelius à
VaticanNews.va le 10 juin.
Pour Arborelius, c'est « très triste » puisque, selon lui, "l'Église" aurait [prétendument] "toujours" voulu accueillir l'immigration de masse.
Dans toute l'Europe la Suède est considérée comme un exemple d'échec des politiques de migration de masse qui menacent le pays, au bord d'une « guerre civile », terme utilisé en juin 2017 par le commissaire national de la police Dan Eliasson.
Pour Arborelius, c'est « très triste » puisque, selon lui, "l'Église" aurait [prétendument] "toujours" voulu accueillir l'immigration de masse.
Dans toute l'Europe la Suède est considérée comme un exemple d'échec des politiques de migration de masse qui menacent le pays, au bord d'une « guerre civile », terme utilisé en juin 2017 par le commissaire national de la police Dan Eliasson.
Que tous
les émigrés aillent donc chez ce cardinal : je parie qu'il les
foutra tous à la porte ! C'est du 5/5. Il faut faire la
différence entre leur baratin maçonnique et les faits.
À télécharger ici :
154- « Marie nous envoie son secours
RépondreSupprimeravant même que nous l’ayons demandé. »
(Richard de Saint-Victor)