jeudi 20 septembre 2018

À propos du chiffre 666, nombre de la Bête de l’Apocalypse

     Tous les Pères ou quasi tous, beaucoup de Saints, se sont interrogés sur le chiffre mystérieux du nombre de la Bête que Saint Jean indique dans son Apocalypse. Comme d'habitude, les esprits railleurs se rient de tout cela : je ne suis pas de leur nombre.

     Récemment il est paru sur internet une interprétation qui doit être prise en compte. Ceci est paru en langue italienne aux liens suivants : mi-chael.blogspot.com/…/il-numero-della… & mi-chael.blogspot.com/…/il-numero-della… [version française ici : BERGOGLIO = 666 & là : BENEDETTO = 666 ]. Les esprits forts se récrieront comme d'habitude : le Père de Montfort disait la même chose des grands esprits de son temps. Pour moi, je vais résumé en quelques lignes ces deux articles afin d'avoir une idée plus précise de la chose.

   1) Le langage informatique n'appartient qu'à l'époque moderne, disons pour schématiser, depuis les années 1960. Ce langage, comme tous les langages, a son code propre, et ce code a été appelé ASCII. On en trouvera l'explication dans les articles susnommés.

    2) D'après le code ASCII qui est le langage des ordinateurs, on peut nombrer tel ou tel nom. Ce procédé fut employé par les saints Docteurs par rapport aux langues. Mais aujourd'hui, nous sommes dans l'ère numérique qui est la langue de notre époque, la langue de l'intelligence artificielle qui devient omniprésente un peu partout maintenant.

   3) Dans la langue informatique, BERGOGLIO et BENEDETTO, respectivement pape François et Benoît XVI, font 666 dans la somme des chiffres correspondants aux lettres majuscules, et six-six-six quant aux trois premiers chiffres (B = 66 & E = 69).

   4) Bergoglio fut le seul cardinal au conclave de 2013 arrivant à ce chiffre de 666 en langage informatique.

   5) Benoît XVI égalant 666 en langage informatique garda ce nom de Benoît même après sa démission, alors qu'il aurait dû reprendre son nom de cardinal Ratzinger.

   6) Ratzinger prit le nom de Benoît en 2005 à la surprise de tous, car l'on pensait plutôt à un Jean-Paul III dans la continuité de ses prédécesseurs.

   7) Le 11 février 2013, Benoît XVI fit une fausse renonciation (que Socci remarqua, comme il remarqua l'élection selon lui invalide de Bergoglio au conclave du fait d'une irrégularité de scrutin) dans le sens qu'il se réservait la partie passive du Ministère pétrinien, ce qui est inédit mais ce qu'a très bien expliqué celui qui est au service du Passif et de l'Actif, savoir de Benoît et de François, et j'ai nommé Georg Gänswein toujours en poste en ce 19 septembre 2018, fête de Notre-Dame de La Salette, sous les auspices de laquelle je termine ce billet.

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