Un
constat troublant et une conclusion tout aussi troublante
Pour résumer ce
qui a été dit jusqu’à présent : quatre organismes vitaux ont
été mis en place au cours des dernières années : l’Autorité
d’Information Financière, le Conseil pour l’Économie, le
Secrétariat pour l’Économie et le Cabinet du Vérificateur
Général. Depuis leur création, ces entités ont été la cible
d’attaques des membres de la Vieille Garde laissés en place et
habilités par le Pape François lui-même. Grâce à l’infiltration
dans l’Autorité d’Information Financière et le Conseil pour
l’Économie, avec la réduction et la suppression définitive du
Préfet, le Cardinal Pell, et la révocation du Vérificateur
Général, Libero Milone, ces quatre organismes ont été
neutralisés, voire anéantis.
Le Pape était-il au courant de ces attaques ? Les initiés nous confirment que la réponse est oui, et qu’il a signé des décrets exécutifs illogiques l’un après l’autre pour accélérer leur disparition.
Cela nous amène à trois dernières questions :
- Compte tenu du blocage effectif des quatre organismes mentionnés et du rétablissement de l’ancienne structure du Vatican, combien de temps la justice italienne attendra-t-elle avant d’exiger les noms des citoyens italiens qui ont enfreint la loi italienne, dans des actes allant du blanchiment d’argent à l’évasion fiscale, en utilisant des comptes de l’APSA et des canaux financiers protégés contre les paradis fiscaux offshore?
- Est-il possible que les autorités bancaires européennes et internationales décident de fermer l’accès de l’APSA aux facilités bancaires mondiales jusqu’à ce qu’un nettoyage des structures et de la population du Vatican ait eu lieu sous surveillance externe ?
- Pouvons-nous voir le Gouvernement Italien dénoncer le Traité du Latran de 1929 qui a fait du Vatican un État étranger, créant ainsi le terrain de jeu sans loi et corrompu qu’il est devenu ?
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