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https://youtu.be/uzrgSRjK7z8
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https://www.onlinevideoconverter.com/fr/video-converter)
* * *
au 14 octobre 2018
1- Saint Paul VI est en enfer
fr.news
14
octobre
2018
Un homosexuel de plus ? Le nouveau substitut du Vatican Edgar Peña Parra en eaux troubles
L'archevêque Edgar
Peña Parra, choisi par le pape François, sera nommé substitut
du secrétaire d'État du Vatican le 15 octobre.
Mais la semaine dernière, un dossier de 25 pages a été envoyé par courrier électronique à certains cardinaux du Vatican et signé par "Les laïcs de archidiocèse de Maracaibo" - l’archidiocèse de Peña au Venezuela.
Le magazine italien pro-François mais anti-Église L'Espresso a presque immédiatement eu accès au dossier par le parti Pro-Bergoglio afin de casser l'histoire (12 octobre), de discréditer le dossier [avec un article mal écrit] et de le publier un vendredi afin de diminuer son effet.
Peña a commencé ses études à la fin des années 1970 au séminaire de San Cristobal, où il a été expulsé après la troisième année pour des raisons disciplinaires. Son archevêque lui a donné une seconde chance et il a continué au séminaire de Caracas où les rapports sur lui étaient bons.
Le dossier contient des lettres photocopiées de Mgr Domingo Roa Pérez (décédé 2000) qui a ordonné Peña en août 1985.
Roa écrit dans l'une d'elles qu'il a reçu un signalement anonyme peu de temps avant que Peña soit devenu diacre. Celui-ci lui aurait appris que Peña avait été expulsé du séminaire de San Cristobal parce qu'il était un « homosexuel [pratiquant] ».
Roa écrit que la lettre anonyme expliquait que cette information ne lui était jamais parvenue parce qu'un prêtre de l'archidiocèse de San Cristobal avait falsifié le rapport qui lui avait été soumis (Roa) [San Cristobal n'est qu'un diocèse].
L’Espresso sait avec certitude que le pape François a écarté les accusations contre Peña, qualifiant cela « d'autre attaque contre lui (François) » venant du « front conservateur ». François a toujours ignoré les abus homosexuels dans l'Église.
Peña est un “ami très proche” du cardinal de Tegucigalpa, Rodríguez Maradiaga et de son ancien évêque auxiliaire, Juan Jose Pineda, soupçonné d'être un homosexuel actif. De 2003 à 2007, Peña a travaillé comme conseiller à la nonciature de Tegucigalpa.
Dans sa déclaration d'août, l'archevêque lanceur d'alerte Viganò écrit : « en tant que délégué aux représentations pontificales, j'ai reçu des informations inquiétantes sur [Peña]. »
Mais la semaine dernière, un dossier de 25 pages a été envoyé par courrier électronique à certains cardinaux du Vatican et signé par "Les laïcs de archidiocèse de Maracaibo" - l’archidiocèse de Peña au Venezuela.
Le magazine italien pro-François mais anti-Église L'Espresso a presque immédiatement eu accès au dossier par le parti Pro-Bergoglio afin de casser l'histoire (12 octobre), de discréditer le dossier [avec un article mal écrit] et de le publier un vendredi afin de diminuer son effet.
Peña a commencé ses études à la fin des années 1970 au séminaire de San Cristobal, où il a été expulsé après la troisième année pour des raisons disciplinaires. Son archevêque lui a donné une seconde chance et il a continué au séminaire de Caracas où les rapports sur lui étaient bons.
Le dossier contient des lettres photocopiées de Mgr Domingo Roa Pérez (décédé 2000) qui a ordonné Peña en août 1985.
Roa écrit dans l'une d'elles qu'il a reçu un signalement anonyme peu de temps avant que Peña soit devenu diacre. Celui-ci lui aurait appris que Peña avait été expulsé du séminaire de San Cristobal parce qu'il était un « homosexuel [pratiquant] ».
Roa écrit que la lettre anonyme expliquait que cette information ne lui était jamais parvenue parce qu'un prêtre de l'archidiocèse de San Cristobal avait falsifié le rapport qui lui avait été soumis (Roa) [San Cristobal n'est qu'un diocèse].
L’Espresso sait avec certitude que le pape François a écarté les accusations contre Peña, qualifiant cela « d'autre attaque contre lui (François) » venant du « front conservateur ». François a toujours ignoré les abus homosexuels dans l'Église.
Peña est un “ami très proche” du cardinal de Tegucigalpa, Rodríguez Maradiaga et de son ancien évêque auxiliaire, Juan Jose Pineda, soupçonné d'être un homosexuel actif. De 2003 à 2007, Peña a travaillé comme conseiller à la nonciature de Tegucigalpa.
Dans sa déclaration d'août, l'archevêque lanceur d'alerte Viganò écrit : « en tant que délégué aux représentations pontificales, j'ai reçu des informations inquiétantes sur [Peña]. »
Dommage que
la traduction laisse à désirer, mais on croit comprendre que...
toujours le même truc ! On n'en sort pas et on ne peut pas en
sortir tant que l'Antéchrist ne sera pas mis à la poubelle.
fr.news
14
octobre 2018
Nul et non avenu : François "laïcise" les évêques invertis
Le pape François a "laïcisé"
le 13 octobre deux évêques chiliens à la retraite afin de les
"punir" pour des abus homosexuels présumés.
Le premier est l’ancien archevêque de La Serena, Francisco José Cox, membre du mouvement Schönstatt, que Paul VI a nommé évêque en 1974. Cox a pris sa retraite en 1997 et réside en Allemagne. En 1981, Jean-Paul II l'avait nommé secrétaire du Conseil pontifical pour la famille, mais Cox démissionna trois mois plus tard et fut nommé évêque diocésain au Chili. Ses préférences effusives pour les jeunes hommes étaient évidentes. Il n'a jamais été confronté à des poursuites judiciaires.
Le second est l'ancien évêque d'Iquique Marco Antonio Órdenes, 54 ans. Gynécologue, il est devenu prêtre en 1996 sous l'influence de Jean-Paul II. En 2006, Benoît XVI l'avait nommé le plus jeune évêque de l'histoire du Chili. Órdenes aurait agressé Rodrigo Jelcic à partir de 1997, alors que celui-ci avait 15/16 ans. Il a ensuite affirmé qu'il était "amoureux" de l'évêque. Jelcic est allé voir la police en 2008 après avoir découvert qu'à l'époque Órdenes avait d'autres "amoureux".
Le pape, en tant qu'évêque comme Cox ou Ordenes, n'a jamais reçu du Christ le pouvoir de "laïciser" un autre évêque. Par conséquent, la mesure de François est nulle et non avenue.
Le premier est l’ancien archevêque de La Serena, Francisco José Cox, membre du mouvement Schönstatt, que Paul VI a nommé évêque en 1974. Cox a pris sa retraite en 1997 et réside en Allemagne. En 1981, Jean-Paul II l'avait nommé secrétaire du Conseil pontifical pour la famille, mais Cox démissionna trois mois plus tard et fut nommé évêque diocésain au Chili. Ses préférences effusives pour les jeunes hommes étaient évidentes. Il n'a jamais été confronté à des poursuites judiciaires.
Le second est l'ancien évêque d'Iquique Marco Antonio Órdenes, 54 ans. Gynécologue, il est devenu prêtre en 1996 sous l'influence de Jean-Paul II. En 2006, Benoît XVI l'avait nommé le plus jeune évêque de l'histoire du Chili. Órdenes aurait agressé Rodrigo Jelcic à partir de 1997, alors que celui-ci avait 15/16 ans. Il a ensuite affirmé qu'il était "amoureux" de l'évêque. Jelcic est allé voir la police en 2008 après avoir découvert qu'à l'époque Órdenes avait d'autres "amoureux".
Le pape, en tant qu'évêque comme Cox ou Ordenes, n'a jamais reçu du Christ le pouvoir de "laïciser" un autre évêque. Par conséquent, la mesure de François est nulle et non avenue.
Un prêtre
reste prêtre pour l'éternité, et donc il ne peut redevenir laïc.
Cependant le Saint-Siège peut lui demander de ne plus exercer même
de façon privée. Un tel personnage ne peut se marier. Pensez par
exemple à Félicité de Lamennais.
fr.news
14
octobre 2018
Un cardinal espagnol pro-Bergoglio s'attend à la création de "nouveaux types de familles"
Le cardinal de Barcelone, Juan José
Omella, a appelé « nous, les vieux », à s'engager dans
la « nouvelle voie » qu'indique le pape
François.
S'exprimant lors d'une conférence de presse sur le Synode de la jeunesse (13 octobre), Omella a déclaré que cette voie « nous mène à de nouveaux types de familles ».
Il a ajouté : « Nous ne devrions pas avoir peur de nous ouvrir à cela » [Mais Omella devrait avoir peur de dire des sottises.]
En juin 2017, après sa nomination, le cardinal Omella a attaqué les cardinaux des Dubia, les accusant de « se battre » contre François en public.
S'exprimant lors d'une conférence de presse sur le Synode de la jeunesse (13 octobre), Omella a déclaré que cette voie « nous mène à de nouveaux types de familles ».
Il a ajouté : « Nous ne devrions pas avoir peur de nous ouvrir à cela » [Mais Omella devrait avoir peur de dire des sottises.]
En juin 2017, après sa nomination, le cardinal Omella a attaqué les cardinaux des Dubia, les accusant de « se battre » contre François en public.
Si un jour
je suis pape (ce qui n'arrivera jamais bien entendu), je démettrai
immédiatement tout le corps épiscopal : c'est clair ?
À télécharger ici :
279- « Marie peut, par ses prières,
RépondreSupprimertout ce que Dieu peut par sa simple Volonté. »
(Saint Alphonse de Liguori)