lundi 14 janvier 2019

III-24a. CANTIQUE SUR LES DÉRÈGLEMENTS DE RENNES

 
Pour TÉLÉCHARGER, voici l'URL de la vidéo :
https://youtu.be/BXDKDPz0ui8
(exemple de site de téléchargement : 
https://www.onlinevideoconverter.com/fr/video-converter)

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ACTUS
 au 13 janvier 2019


 1-   L’Antéchrist vu par un non-spécialiste

 2-   INVOCATIONS à la SAINTE FAMILLE


fr.news13 janvier 2019

Le cardinal Marx n'aime pas le terme "excluant" d'"Occident chrétien"


Le terme « occident chrétien » ne doit pas être utilisé car il « exclurait les autres », a déclaré le cardinal munichois Reinhard Marx lors d'une conférence à Berlin le 10 janvier.

Selon l'agence de presse KNA, l'agence de presse des évêques allemands, Marx a souligné qu'en Europe, différentes religions cohabitent en paix et que chacune d'elles revendique la vérité.

En mai 2018, Marx a critiqué la décision de l'État bavarois d'afficher des croix dans des bâtiments publics.

Si Marx veut que les termes incluent des personnes de tous les groupes de la société, il doit utiliser le terme "idiot".

L'Occident chrétien refleurira, n'en déplaise au damné Marx qui le verra de l'enfer.



fr.news13 janvier 2019

Les apparatchiks du service de presse du Vatican


Paolo Ruffini, préfet du dicastère de la communication, a annoncé le 11 janvier la création d'une nouvelle équipe après la démission brutale des anciens attachés de presse. Ses membres sont :

- Romilda Ferrauta, France, précédemment à Radio Vatican, maintenant conseillère principale

- Soeur Bernardette Reis, États-Unis, précédemment à VaticanNews.va, maintenant assistante

- Raúl Cabrera Pérez, Pérou, anciennement à VaticanNews.va, maintenant assistant

- Thaddeus Jones, États-Unis, précédemment à VaticanNews.va, maintenant responsable de rédaction.

Alessandro Gisotti reste directeur par intérim.

Gisotti a souligné que la nouvelle équipe est « internationale » comme si cela avait une incidence sur leur compétence.

Cependant, tous les dirigeants des communications du Vatican sont des hommes italiens : Paolo Ruffini, Andrea Tornielli, Andrea Monda, Paolo Nusiner, Giacomo Ghisani, Alessandro Gisotti et Francesco Masci.

J'appréciais beaucoup Romilda Ferrauta : j'espère pour elle qu'elle ne se fera pas piéger, mais ce n'est pas garanti.



fr.news13 janvier 2019

La démission de Benoît XVI a "démocratisé" la fonction papale


La démission de Benoît XVI a constitué une étape importante sur la voie de « l'humanisation » et de la « démocratisation » de la fonction papale, selon le père libéral Raniero Cantalamessa, 84 ans, prédicateur de longue date de la Maison pontificale.

Au cours d'une retraite pour les évêques américains la semaine dernière, Cantalamessa a qualifié d'« âge d'or la crise meurtrière actuelle de l'Église, par rapport aux siècles passés, où de nombreux évêques étaient plus soucieux de gouverner leur territoire que de s'occuper du troupeau. »

[Au moins alors, les évêques n'étaient pas activement engagés à mener le troupeau dans l'abîme et il restait encore un troupeau.]

Cantalamessa a pour frère Judas : lui-même l'a avoué ; donc c'est un Judas.



fr.news13 janvier 2019

La majorité des cardinaux estime que le pontificat de François est un échec


Le régime actuel du Vatican va nuire à l'Église catholique, écrit Russell Ronald Reno, rédacteur en chef de FirstThings.com (10 janvier).

Reno décrit François comme laxiste, impitoyable, froid, rusé et rapide à dénoncer : « Il gouverne par des gestes, des slogans et des sentiments. »

Déjà jadis, Jorge Bergoglio avait démoli des institutions dont il était responsable en semant la division, a ajouté Reno. Un exemple est la Province jésuite en Argentine.

Reno pense que François « conclura des accords avec l'Occident laïque », à l'image de son accord de partage du pouvoir avec les communistes chinois : « Le pontificat de François transforme le catholicisme en une aumônerie pour les intérêts de l'élite dans l'ordre mondial émergent. »

Pour Reno, le pontificat de François est « un échec ». Il pense que la majorité des cardinaux et d’autres ecclésiastiques importants en sont de plus en plus conscients.

Que les ecclésiastiques ne se plaignent pas puisqu'ils acceptent leur patron qu'ils devraient rejeter en bloc ; donc, tous des trouillards.



fr.news13 janvier 2019

Rodríguez Maradiaga est le faiseur de roi de François


Le cardinal de Tegucigalpa, Oscar Rodríguez Maradiaga, est l’influence principale sur les nominations de François, écrit John Allen sur AngelusNews.com le 8 janvier.

Rodríguez est profondément impliqué dans les scandales homosexuels et financiers

Selon Allen, le cardinal hondurien était à l'origine de la nomination du radical pro-gay Blase Cupich à Chicago.

Cependant, Allen fait remarquer que François a une poignée de personnes clefs en qui il fait confiance sur certaines questions, « mais personne d'autre que lui ne dirige vraiment l'ensemble ».

Ils sont tous dans la carriole de l'Antéchrist, et l'enfer les attend avec impatience.



fr.news13 janvier 2019

Burke : François transforme l'Église en secte protestante


Le pape François donne autorité aux évêques individuels et aux conférences épiscopales, a noté le cardinal Raymond Burke, « Mais ce n'est pas l'Église catholique. »

Parlant à TheWandererPress.com (10 janvier), Burke souligne que le concept fluide de synodalité relativise l'office papal et constitue donc « un principe de rupture plutôt qu’un développement de la doctrine ».

Selon le cardinal, François utilise la synodalité pour faire avancer une « révolution » transformant l'Église en une dénomination avec des divisions et des principes de plus en plus semblables à ceux mis en vigueur par les réformateurs protestants.

A titre d'exemple, Burke souligne que l'Église peut ne pas avoir les mêmes enseignements et les mêmes disciplines en ce qui concerne l'Eucharistie ou le mariage d'une nation à une autre.

L’accord papal avec le régime chinois est qualifié par Burke de « répudiation de générations de martyrs et de confesseurs de la foi ».

Il a en outre qualifié la fornication homosexuelle de « désordonnée » en déclarant qu'une partie des évêques américains prônait l'acceptation de l'homosexualité et qu'elle « n'était pas cohérente avec l'Église sur ces questions » [et est donc hérétique].

Que Raymond Burke quitte une bonne fois pour toutes la conciliaire et il sera logique avec lui-même !



fr.news13 janvier 2019

François en mode Vieux Rite ?!


Dimanche, le pape François a baptisé 27 enfants dans la chapelle Sixtine pour la fête du baptême du Seigneur.

Après la lecture de l'Évangile, il a prononcé une courte homélie s'adressant aux parents et aux parrains et marraines. L’homélie a commencé comme ceci [vidéo en italien ici] :

« Au début de la cérémonie, on vous a posé la question : “ Que demandes-tu à tes enfants ? ” Et vous avez tous dit : “La foi ”. »

Mais cela ne correspond pas au baptême du nouveau rite où il est répondu à la question "Que demandes-tu à tes enfants ?": "Le Baptême".

Le texte cité par François fut utilisé jusqu'aux changements liturgiques controversés de Paul VI à la suite du Concile Vatican II.

À la fin de la cérémonie, François a célébré la messe à l'autel face à Dieu [vidéo ci-dessous].

Coup à droite de l'Antéchrist : un clin d’œil aux tradis superficiels !



fr.news13 janvier 2019

Jésus « rené dans la grâce » pour un cardinal américain - Quoi ?


Le cardinal de Newark Joseph Tobin a déclaré sur Twitter le 13 janvier que lors de son baptême, « le Christ était avec tous les pécheurs en quête de rédemption » et que « le Rédempteur sans péché est né de nouveau en grâce ».

Tobin aurait dû lire Saint Augustin (+430) qui explique que le Christ a été baptisé « non pas parce qu'il avait besoin d'être nettoyé » mais au contact de sa chair, les eaux ont été purifiées et ont reçu le pouvoir de purification.

Par conséquent, selon le Catéchisme de Trente, le Christ a institué par son baptême le sacrement du baptême et a donné à l'eau le pouvoir de sanctifier.

Voilà un cardinal conciliaire en parfaite symbiose avec sa secte.


À télécharger ici :

1 commentaire:

  1. 370- « Deux personnes s’aiment véritablement
    quand l’une ne veut que ce que veut l’autre,
    car l’amour unit les volontés comme la haine les divise. »

    (Saint Jérôme)

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