« Le Sauveur attache des grâces bien précieuses à la dévotion aux douleurs de Marie. Pelbart rapporte qu’il fut révélé à Sainte Élisabeth Vierge, que Saint Jean l’Évangéliste, après l’Assomption de Marie au Ciel, désirait vivement de la revoir, et qu’il obtint cette faveur : sa Mère chérie lui apparut, et même Jésus avec elle ; il entendit ensuite Marie demander à son divin Fils quelque grâce particulière pour ceux qui ont de la dévotion à ses douleurs, et Jésus lui promettre pour eux quatre grâces principales : la première, que ceux qui invoquent cette divine Mère par ses douleurs, mériteront de faire avant la mort une sincère pénitence de leurs péchés ; la seconde, qu’il les protégera dans leurs tribulations, surtout à l’heure de la mort ; la troisième, qu’il imprimera en eux la mémoire de sa Passion, et leur en donnera la récompense dans le Ciel ; la quatrième, qu’il les remettra entre les mains de Marie elle-même, afin qu’elle en dispose selon son bon plaisir, et leur procure toutes les grâces qu’elle voudra. » (St Alphonse de Liguori, "Les Gloires de Marie")
« Le Sauveur attache des grâces bien précieuses
RépondreSupprimerà la dévotion aux douleurs de Marie.
Pelbart rapporte qu’il fut révélé à Sainte Élisabeth Vierge,
que Saint Jean l’Évangéliste, après l’Assomption de Marie au Ciel,
désirait vivement de la revoir, et qu’il obtint cette faveur :
sa Mère chérie lui apparut, et même Jésus avec elle ;
il entendit ensuite Marie demander à son divin Fils
quelque grâce particulière
pour ceux qui ont de la dévotion à ses douleurs,
et Jésus lui promettre pour eux quatre grâces principales :
la première, que ceux qui invoquent cette divine Mère par ses douleurs,
mériteront de faire avant la mort une sincère pénitence de leurs péchés ;
la seconde, qu’il les protégera dans leurs tribulations,
surtout à l’heure de la mort ;
la troisième, qu’il imprimera en eux la mémoire de sa Passion,
et leur en donnera la récompense dans le Ciel ;
la quatrième, qu’il les remettra entre les mains de Marie elle-même,
afin qu’elle en dispose selon son bon plaisir,
et leur procure toutes les grâces qu’elle voudra. »
(St Alphonse de Liguori, "Les Gloires de Marie")