Des symboles forts défilent devant nos yeux. Mais
les voyons-nous ? Force est de constater que non. Ainsi en fut-il après
Vatican II : tout le monde constata le désastre, mais les réactions
furent nulles ou sans lendemain. Pire ! Ceux qui promouvaient alors les
changements sont ceux-là-mêmes qu’on place maintenant à droite. C’est
que Bergoglio a mis un sérieux coup d’accélérateur ! Et il est bien
connu que la révolution dévore ses enfants. Or, la révolution
conciliaire n’est pas terminée.
Au
cours de ces 60 dernières années, les signes n’ont pas manqué. Mais
aujourd’hui ils prennent une acuité toute particulière, et ils seront de
plus en plus manifestes jusqu’à ce qu’advienne le terme de la grande
Apostasie. Mais un autre phénomène va de pair : l’aveuglement. Le
résultat est que, plus le bandeau s’épaissit et plus les symboles
deviennent forts et moins on réagit à cause précisément de cette cécité.
Mais venons-en aux faits.
4 septembre 2019 : La Croix surmontant l’Autel de la Confession à Saint-Pierre de Rome est fracassée sur ce même autel. Réactions dans la tradisphère ? Néant !
Un mois plus tard jour pour jour, 4 octobre 2019, un culte était rendu à la Pachamama dans les jardins du Vatican. On commença timidement à élever la voix.
27 septembre 2019 : La statue géante de Moloch était inaugurée à l’entrée-même du Colisée et elle y restera jusqu’au 29 mars 2020. Qui en parla alors ? Personne !
Un mois plus tard jour pour jour, 27 octobre 2019, se terminait le synode de la Pachamama dont on mit le bol magique sur l’autel pendant la messe de clôture. On a d’abord minimisé.
33 ans auparavant jour pour jour, 27 octobre 1986, avait lieu le panthéon d’Assise qui lui-même se tint 28 ans après l’élection invalide de Roncalli qui allait donné le coup d’envoi de la grande Apostasie.
7 octobre 2019 : La Pachamama prenait possession de Saint-Pierre de Rome. Il a fallu plusieurs jours pour que l’affaire se sût.
Un mois plus tard jour pour jour, 7 novembre 2019, tremblement de terre en Italie, de magnétude 4,4 bien ressenti à Rome. Aux infos : néant !
9 octobre 2019 : Par Scalfari on sut que Bergoglio niait la divinité de Jésus-Christ. Du coup, on s’émut.
Un
mois plus tard, 4 novembre 2019, soit un mois jour pour jour après la
Pachamama au Vatican et deux mois jour pour jour après le renversement
de la Croix sur le tombeau de Saint-Pierre, Scalfari confirme ce qu’il
avait dit un mois plus tôt à propos de Bergoglio en donnant de nouveaux
détails, savoir que le dit Bergoglio ne croyait pas à la Résurrection du Christ. Dans la tradisphère, pas un mot !
Résultat
des courses : l’Antéchrist-Bergoglio peut continuer tout à son aise
puisque personne ne fera rien ou si peu ! Or, qu’a fait cet Antichrist ?
Il a ressuscité deux idoles terribles et toutes deux dévoreuses
d’enfants ! La première, Moloch ou Baal qui garde désormais le Colisée
qui lui-même appartient au Vatican et qui a été consacré comme lieu
sacré par Benoît XIV ; la seconde, Pachamama ou Mère-Terre, idole andine
ou réplique féminine de Moloch. L’Antéchrist est le promoteur de ce
mariage hideux et proprement luciférien puisqu’il a fallu son aval pour
installé Moloch au Colisée et que lui-même a béni la Pachamama.
Nous
voici donc revenus aux temps antiques de l’idolâtrie : oui, la Bête qui
avait reçu la plaie mortelle est bien guérie, comme cela est dit dans
l’Apocalypse. Les résultats, croyez-moi, ne se feront pas attendre, et
ils seront terrifiants.
G.C.
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